Un seul moyen de lutter contre la corruption et tous les maux de la société algérienne : l'humanisme Amazigh (celui de l'Homme libre). Autrement dit, une société baséé sur le respect :
1 L'Anaya : la protection de soi et des autres. Le premier devoir d'un amazigh est de protéger un être humain qui a des intentions pacifiques. Et qui respecte la loi traditionnelle locale issue de l'humanisme amazigh. Accueil de la personne, logement de la personne, nourriture de la personne, et ce gratuitement pour le nécessiteux. Bref séjour ou la personne reprend son chemin ou choisit de s’intégrer au village ou au quartier en contribuant aux œuvres publiques.
2 Le libre arbitre : Les Amazighs sont laïcs depuis qu'ils sont Amazighs ! Ils respecte l'ensemble des croyances de l'humanité dès lors qu'elles sont pacifiques. L'Homme libre peut choisir de croire ou de ne pas croire. La spiritualité est de l'ordre de l'intime.
3 L'Egalité : aucun être humain n'est au dessus des autres. L'organisation sociale et politique civilisationnel des Amazighs permet à toute personne dès lors qu'elle s'en donne les moyens et contribue à la collectivité locale, d'être aidée dans son projet de développement.
La liste est longue mais ces trois principes sont traversé par d'autres valeurs universelles, celle de la fraternité et de la solidarité entre hommes et femmes libres. Rien qu'avec ces trois principes, il n'y aura plus de corruption ou autre mal.
Soit un citoyen contribue aux œuvres locales et donc nationales. S'il comemt une erreur qu'il ne peut réparer, il est banni. Un corrompu est un voleur. Chez les Amazighs un voleur répare et fait le canard ou il est chassé de la communauté du village ou du quartier. Il devra demander protection ailleurs et là il se fera petit sinon il sera encore chassé. Vous savez maintenant pourquoi il n'y a jamais eu de prison, ni de peine capitale chez les Amazighs des Aures et d'ailleurs.